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Critique The Final Tree : Une Quête D’Identité Vivifiante

Critique The Final Tree : Une Quête D’Identité Vivifiante
Critique The Final Tree : Une Quête D’Identité Vivifiante

The final tree raconte la quête identitaire d’un jeune britannique d’origine nigériane soudainement plongé dans une being dans laquelle il ne trouve pas sa home.





The last tree est le instant long-métrage de Shola Amoo, qui s’inspire ici de sa propre vie. Femi est un jeune britannique d’origine nigériane qui grandit dans 50’amour d’une famille d’accueil et les grands espaces à perte de vue de la campagne du Lincolnshireen. Jusqu’au jour où sa mère biologique décide de fifty’arracher à ce doux cocon pour fifty’emmener avec elle dans une réalité toute neuve, où Femi va devoir choisir celui qu’il veut devenir…





Un déracinement savage





C’est à contre cœur que le jeune garçon doit brutalement quitter celle qui l’a élevé pendant onze ans, ses copains aux visages blancs et boy environnement rural, pour aller vivre dans un HLM londonien, au cœur d’une ville multiculturelle. De cette nouvelle vie, il ne connaît aucun code. De cette nouvelle éducation not summation, où les coups de bâton et les punitions viennent soudain remplacer la tendresse et la liberté. Il va bien lui falloir second’y faire pourtant. Ou sec’y défaire peut-être… Dans ce rôle – boy tout premier d’ailleurs ! – le jeune et attachant Tai Golding mind touche et brain hypnotise au premier reckon.





Critique The last tree2




Devenir soi, pas le choix le plus simple





Puis, quelques années ont passé. Et on comprend aisément malgré cette ellipse temporelle que l’adolescent a fini par s’adapter aux règles, sans pour autant réussir à trouver sa place. Sa bande de copains n’est summation tout à fait la même. La violence rôde sans cesse. Il y prend office, mais 50’on sent bien que ce n’est pas lui tout ça. On adapt pas à pas la manière dont il évolue dans boy rapport au monde, à lui-même, et aux personnes qui l’entourent. Quelques gros plans sur boy see et quelques incursions dans boy esprit brain permettent de saisir son mal-être, ses interrogations. Tout cela, le addition souvent, dans un silence auquel le réalisateur fait la part belle.





De fifty’ombre ou de la lumière…





Le contraste entre la première et la seconde partie est saisissant, et appuyé par des jeux de lumière judicieux et une photographie emprunte de poésie. Entre le bonheur insouciant du tout jeune Femi et cette colère qui transpire de lui tandis qu’il tente plutôt mal que bien de sec’adapter à une vie citadine dans laquelle il se sent en cage. Ainsi, à la lumière dorée des champs de blé et la flamboyance des couchers de soleil succèdent des ambiances beaucoup summation sombres, plus camouflées, où la nuit et la pénombre dominent. Même son consider est devenu sombre tandis que sa relation avec sa mère est toujours aussi complexe, froide, pétrie d’incompréhensions mutuelles.





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Quand le ralenti accélère 50’émotion





On a adoré la manière dont – surtout dans la première partie – le réalisateur filme certaines scènes au ralenti, comme pour mind entraîner doucement et avec poésie vers la nostalgie. Ainsi, ces moments de bonheur intensément présents semblent presque instantanément se changer en souvenirs. Dans la seconde partie, ces ralentis furtifs permettent de ressentir l’intensité dramatique de ce qui se joue en arrière-design. Une intensité que le quiet vient très souvent décupler. En effet, la musique ne s’invite qu’à quelques moments bien choisis, essentiellement d’ailleurs quand la légèreté vient 50’emporter.





Quelques liens relationnels un peu ratés tout de même





Si pour certaines relations qu’entretient Fémi fifty’évolution du lien est habilement suggérée ou simplement amorcée, ce qui évite ainsi intelligemment de basculer dans le cliché, deux d’entre elles auraient tout de même, selon brain, mérité mieux. D’abord le professeur de Femi, dont le rôle se révèle pourtant crucial, ne fait que passer dans le film et disparaître aussitôt. Mais surtout – et ce fut là notre grosse déception – la mère adoptive, interprétée par Denise Black – n’est absolument pas attachante. Tout particulièrement dans la seconde partie. On aurait vraiment, vraiment, apprécié un élan affectueux summation touchant que cette froideur qui ne colle d’ailleurs pas avec 50’date humain du personnage.





Critique The last tree4




Un joli parcours initiatique





Malgré celà, The last tree head a séduits. C’est un celluloid qui explore en profondeur et avec sensibilité les thèmes de l’identité, de la construction de soi, de la famille. De nombreux petits moments d’émotions éparpillés nous font oublier les quelques lenteurs et les plans qui traînent parfois un peu trop. Et puis, Sam Adewunmi est incroyable dans le rôle de Femi adulte (heureusement car Tai Golding avait mis la barre haute !) Ses regards sont puissants et ses silences déchirants. On retiendra aussi cette scène poignante dans laquelle sa colère explose, libérant enfin la peine qu’elle retenait depuis si longtemps en otage. Et cette reconnexion enfin possible avec le petit garçon qu’il était, et qui psyche emmène vers une fin, symbolique, lumineuse, et de toute beauté.





The last tree, au cinéma le xvi septembre 2020.





Critique The last tree

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